Leur taux de testostérone diminue à l’approche de l’enfant et ils sont victimes de dépression post-partum au même titre que les mères. Les pères sont «enceints» à leur manière, expliquent les nouvelles études en la matière
10,4%. C’est le pourcentage de pères touchés par une dépression périnatale. Presque autant que les mères, dont 12% souffrent de ce mal. Pourquoi ne parle-t-on jamais de ces papas qui flanchent quand l’enfant paraît? Parce qu’en tant que chef de famille, le père fragilisé décide qu’il s’agit de stress ou de fatigue et ne va pas consulter. Pourtant, il serait bon pour l’équilibre familial que ces hommes en détresse soient aidés. Marie Guerin et Sarah Boccon-Gibod, sage-femme et étudiante sage-femme à Genève, signent un travail passionnant sur le sujet. «La promotion de la santé mentale des pères durant la période périnatale» dresse le bilan et imagine comment leur donner plus de place à l’approche de l’enfant.
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Le Regard Libre, novembre 2024
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